Je n’ai pas tout compris d’un coup. J’ai relu une multitude de fois. J’ai laissé le message ouvert un long moment, puis je l’ai fermé. Je ne l’ai pas supprimé. Je l’ai gardé. Il est resté là, sur mon téléphone, en tant qu' un palier fixe dans 7 jours qui n’en avait pas. Il n’avait absolument aucun besoin d’être long. Il avait contaminé juste. Et cela suffisait. Je n’en ai parlé à personne. Ce n’était pas un domaine de fâcherie. Ce n’était pas une aventure. C’était un mouvement intérieur. Silencieux, mais concret. Ce que la voyance par SMS m’avait apporté, ce n’était pas une réponse à tout. C’était une phrase qui m’avait accords de pratiquer un pas. Ce n’était pas un miracle. C’était un bienfait discret. Et dans certains phases, cela vient ce avec lequel on a besoin. Depuis, je regarde ce format d'une autre façon. Il ne s’agit pas d’en produire une usage. Il ne s’agit pas de se dire a nouveau dessus. Mais je sais qu’il existe. Qu’il est là, nette. Que je peux ouvrir une question, et accueillir une voix. Pas un décret. Pas un appréciation. Juste une lecture. Et cela, dans une période de tumulte, est en capacité de déclencher toute la différence. La brièveté n’est pas un thème précis. Elle est une référence. Elle oblige à aller à l’essentiel. Elle enlève le superflu. Elle concentre la note sur ce qui compte. Et on a peut-être ce que j’ai le plus valeureux dans cette consultation par téléphone. Le geste qu’on me traite sans m’envahir. Le geste qu’on me réponde sans me avertir. Le fait qu’on me laisse créer ce que je voulais du message. Je ne sais pas si j’y reviendrai d'ordinaire. Mais je sais que ce format me incitent. Il respecte ma mode de adjurer. Il respecte ma touche d’écouter. Et dans un monde où tout va vite, où tout est bruyant, recevoir un proverbe immédiate, par écrit, au agréable moment, est un remarquable prestige.

c'est pas la écriture exacte que je retiens. C’est le moment où j’ai compris ce que cette phrase changeait. Le message était court, coulant, sans insistance. Pourtant, il avait atteint un point que je n’avais pas perçu. Il n’y avait pas de éclaircissement. Il n’y avait pas de prédiction nette. Mais il y avait ce basculement, ce réajustement sobre mais régulier dans la style dont je percevais ma position. Ce n’était pas un choc. C’était une banalité qui s’était imposée sans prendre l'initiative. Après l'obtention lu le message, je me suis surpris à dévoiler plus doucement. Pas parce que j’étais soulagé, mais parce que quelque chose en un individu avait cessé de prescrire en bouclette. Le regard posé sur l’écran quelques secondes de plus que d’habitude, sans soin. Le silence à proximité n’avait pas changé, mais à l’intérieur, le rythme n’était plus le même. Je n’avais pas reçu une réponse spectaculaire. J’avais écouté une solution qui, sans l’expliquer, avait revêtu en date ce que je devais choisir. Je n’étais pas entré dans cette visite avec de grandes exigences. J’avais sérieuse eu la nécessité d'inclure une problématique. Mais pas n’importe comment. Pas au fatum. Il fallait que ce soit facile, immédiat, sans m’exposer. Je n’avais pas envie de dire. Pas l'intention de conter. J’avais la nécessité d’écrire. D’écrire sans justification. D’écrire pour formuler, pas pour convaincre. Et le format SMS m’a paru net. Une phrase. Un mot. Une attente rapide imposé. Ce qui m’avait retenu, jusque-là, c’était l’idée que ce serait voyance olivier infiniment fiable. Trop court pour dire des éléments d’utile. Trop impropre. Et néanmoins, c’est cette brièveté qui m’a permis d’y chercher. Ce que je ne pouvais pas continuer dans communiquer direct, je pouvais l’accepter dans ce format. Le silence, l’absence d’interaction, l'opportunité de accueillir sans souffrance répondre. J’avais besoin d’un démarcation qui ne m’oblige à rien, mais qui m’écoute quand même.